lundi 9 mars 2015

Le cinéma contre l'imbécilité




Je ne peux en parler. Véritablement. De manière juste. Ce film m'a profondément marqué, il me travaille encore. Il dégage tant de liberté, de vie, qu'il semble nous mettre à l'abri de l'inéluctabilité de la mort, nous réconcilie avec les hommes, avec le cinéma bien entendu. Tout y vibre. Tout y est fragile et fort. 
Je ne sais pas si je pourrai le revoir. Pas tout de suite. Je préfère vivre avec le souvenir du plaisir, du choc, de l'émotion, de la surprise, de la rencontre. 
La parole de François Dupeyron me bouleverse, me bouscule, me réconforte. C'est un don.



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